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Bonjour à toutes et à tous,
je vous annonce que Kalerya Entre Monde ouvre ses portes !
Je vous invite donc à nous rejoindre sur le forum à l'adresse suivante :
http://kalerya-entre-monde.forumactif.org/
Toujours en plein embargo avec les hommes armés qui lui fonçait dessus, Fenköll lança les armes de Ryuu à sa demande, il n’y avait pas trop réfléchi, mais cette jeune fille était belle et bien le jeune homme qu’il aidait. En réalité, il n’était pas si étonné que ça puisqu’il ne lui avait jamais demandé s’il était réellement un homme. Fen continuait de se défendre jusqu’à ce que ses assaillants stops nets toute attaque, il tourna la tête vers la scène pour y voir que Ryuu avait placé une sorte de prison électrique autour de l’homme à capuche. Il n’avait pas tout écouté ce qu’avait dit la jeune rose, mais elle avait parlé de « loup affamé » et de « cuisses de bourgeoise écervelée », à ce moment, il regarda les autres occupants de la salle, se mit à sourire et fini par répliquer, « c’est vrai qu’ils ont l’air appétissant tous ces bourges …» Aussitôt, sa phrase finie que tous les bourgeois qui occupaient la salle des ventes avaient détalé tel des chiens fuyant la queue entre les pattes.
Tous les bourgeois étaient sortis de la salle et comme les hommes de Thomas avait cessé leurs attaques, Fen descendit les escaliers qui mène a la scène tenant encore le cadavre du dernière homme qui l’avait attaqué. Il monta sur scène et de sa main libre prit le sac qu’il avait sur sa corne et le tendit à sa propriétaire « il devrait y avoir toutes tes affaires à l’intérieur normalement » ajouta il en lâchant le cadavre à côté de l’homme dans sa cage électrique. Il se mit à croupis de lui et le regarda avec un air qui disait « Je vais tellement te réduire en poussière que même les bactéries ne voudront pas de ta dépouille. » Il entra ensuite directement dans le vif du sujet qui l’intéressait, « Alors Thomas … Ou alors devrais-je t’appeler « Key » maintenant ? J’espère que tu n’as pas oublié que l’on a de vieux compte à régler ensemble. -Vous êtes qui au juste ?! Je ne vous connais pas et d’où vous connaissez ce nom ?!! -Aller fais pas l’idiot je sais très bien que tu sais qui je suis, et tu vas me dire où tu l’as planqué !!! -Mais de quoi vous parlez à la fin je ne vous connais absolument pas !!!... -Tu ne vas quand même pas me dire que tu as oublié celui que ton frère et son groupe appelaient le démon de la guerre quand j’étais encore avec eux ? Ajouta-t-il en souriant. Où est ce putain de collier que tu m’as dérobé la dernière fois que l’on s’est vue !!!! -C’est vrais que je connais quelqu’un qui se faisait appeler de cette façon mais en aucun cas il s’agissait d’un monstre comme vous. -Il est vrais que peut de personne mon vue sous cette forme ou son encore en vie pour en témoigner. A ces mots, il reprit son apparence normale en prenant soin de reprendre dans ses mains les deux bracelets qu’il avait récupéré. Il se retourna vers la jeune rose qui se trouvait juste derrière lui, elle était en plein inventaire à vérifier si toutes ses affaires étaient bien là et toujours en petite tenue. Fenköll bloqua un petit moment sur elle (en même temps qui ne l’aurais pas fait en présence d’une jeune femme avec un corps si généreux.) il détourna le regard gêné de poser les yeux sur ce corps digne d’une princesse. « Ceci doit t’appartenir … » Annonça-t-il en tendant les bracelets à la jeune femme, « c’était une très bonne idée de les laisser derrière pour que je puisse les retrouver et trouver le chemin de leur planque. » Ajouta-t-il en se retournant vers Thomas.
« Maintenant, tu devrais me reconnaître non ? Donc tu vas me dire où tu as caché ce collier. » Reprena-t-il en regardant de façon extrêmement menaçante l’homme dans sa prison électrique. L’homme se contenta de hocher la tête et de pointer une direction. « Je veux bien que tu me montres une direction, mais c’est tout de même bien vague comme indication … » Ajouta-t-il de façon sarcastique. Le bandit lui répondit alors que ce qu’il cherchait se trouvait dans une salle de l’autre côté du mur qu’il pointait. Fen se retourna vers Ryuu avant de se diriger vers le mur que Thomas lui avait indiqué en lui disant « je te le laisse fais en ce que tu veux, il t’a causé plus de tors qu’à moi … »